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Chômage

Réforme du RSA et de l’allocation chômage : le décret de la honte !
Malgré l’avis défavorable rendu par le conseil national de la lutte contre l’exclusion, le gouvernement a publié par décret le 31 mai son régime de sanctions des demandeurs·euses d’emploi qui ne respecteraient pas leurs obligations à chercher activement du travail. Ces obligation figurent dans le « contrat d’engagement » que ces dernier·es sont contraint·es de signer avec leur conseiller·e France Travail.
Force et espoir pour 2025 !
Génocide à Gaza, guerre en Ukraine, montée de l’extrême droite, catastrophes climatiques, Mayotte, régressions sociales par le gouvernement Macron, annonces de dizaines de milliers d’emplois supprimés, cette année 2024 a été lourde. La mobilisation de toutes les forces progressistes a toutefois permis que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir en juin. Les résultats des élections législatives laissent néanmoins une situation de crise démocratique et sociale difficile, sans lever cette menace.
L’extrême droite est l’ennemie des privé·es d’emploi et des précaires
Il oppose notamment « le salarié·e qui se lèverait tôt au chômeur·se qui serait éternellement en vacances et vivrait aux crochets de la collectivité ». La réalité du chômage et de la précarité est à l’opposé de cette perception « brève de comptoir ». Avant d’être un chômeur·se ou un·e précaire, les femmes et les hommes qui subissent cette situation sont avant tout des travailleur·ses qui soit ont perdu leur emploi soit doivent accepter une précarité et des conditions de travail indignes pour survivre…
Réforme de l’Assurance-chômage : le gouvernement fait les poches des plus précaires
Encore une réforme de l’Assurance-chômage ! Motivé par des raisons strictement budgétaires, le gouvernement décide de réduire une nouvelle fois les indemnités des privé·es d’emploi et de durcir les conditions d’indemnisation.
(enième) Réforme de l’assurance chômage : jusqu’où ?
Gabriel Attal vient d’annoncer une nouvelle réforme de l’assurance chômage. Comme les deux précédentes, elle va toujours dans le même sens : moins de droits et d’indemnités pour les chômeur·ses. Alors qu’à peine un tiers d’entre elles et eux sont actuellement indemnisé·es, le gouvernement Attal ose prétendre agir ainsi pour l’emploi en luttant contre l’« assistanat ».
L’assurance chômage, elle est à nous !
Dans la presse, le ministre de l’économie Bruno Le Maire a réparti les rôles entre Etat et syndicats concernant l’assurance chômage. A l’État les chômeur·ses et aux syndicats les salarié·es ! Nous refusons cette séparation factice. Les chômeur·ses sont des travailleur·ses et c’est donc aux syndicats de les organiser. En réalité, c’est un hold up que l’État commet depuis quelques années sur les finances de l’assurance chômage.
Loi du plein emploi ou loi du travail forcé ?
Dissipons tout de suite un malentendu. La loi pour le « plein emploi » ne signifie pas que le gouvernement entend faire disparaître le chômage. Il joue en réalité sur les mots. Et compte bien que l’on retienne que le gouvernement aurait vaincu le chômage. Mais sa loi a surtout pour ambition de lutter contre les chômeurs et chômeuses.
Fliquer les pauvres avec l’argent des chômeurs·euses, fallait oser y penser !
Cela fait longtemps que le gouvernement décide de tout (ou presque) en matière d’indemnisation des chômeurs-euses. Tout en faisant croire qu’il laisse aux syndicats et organisations patronales représentatifs des marges de négociation, les conditions qu’il impose empêchent en réalité tout accord.
Loi « plein emploi » : non au « travaille et ferme là » !
Le 10 juillet a débuté l’examen parlementaire du projet de loi relatif au plein emploi. Pour Macron « plein emploi » à une signification bien particulière. Pour lui et son gouvernement il s’agit que le monde du travail soit tout entier précaire, sans statut protecteur, et donc pieds et mains liés au patronat et à la finance.
Réforme retraites et assurance-chômage : Double peine pour les chômeurs/ses !!
Avec la nouvelle réforme chômage, le gouvernement instrumentalise la baisse apparente du taux de chômage aux alentours de 7% pour diminuer la durée de versement des allocations chômage. Pourtant cette baisse du chômage est en grande partie fabriquée. En effet, Pole Emploi n’a jamais autant radié ces derniers mois et ce « sans raison particulière », avec un pic à 58 000 en novembre 2022 !
 
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