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Fréquence Paris Plurielle a besoin de vous


Depuis 1992, Fréquence Paris Plurielle, la « voix des sans voix », émet sur les ondes du 106.3 MHz dans la région parisienne. Radio associative militante, elle fonctionne sans publicité avec près de 100 émissions et plus de 200 bénévoles qui chaque jour, chaque semaine prennent l’antenne pour faire entendre d’autres voix, d’autres points de vue.

Elle donne la parole aux communautés étrangères de Paris et banlieue, aux chômeurs, aux prisonniers, aux antifascistes, aux handicapés, aux écolos, aux sans-papiers, aux féministes… Elle fait entendre toutes les musiques qui dérangent et se fout de l’industrie du disque.

Les politiques successives de subventions aux associations ont amené à la suppression de certaines d’entre elles octroyées aux radios associatives. Les subventions de fonctionnement sont de plus en plus maigres.
L’État oblige à se tourner vers les subventions sur projet qui n’échappent pas non plus aux politiques d’austérité.
Leurs attributions ne sont pas exemptes d’un regard et d’un choix politique.

Mais d’ailleurs, le projet de Fréquence Paris Plurielle est tout simplement de faire de la radio.

De ce contexte politique découle notre situation financière préoccupante, aggravée par les retards d’attribution de la subvention d’aide à la diffusion et par l’augmentation des frais fixes et d’équipement.

Fréquence Paris Plurielle lance une campagne d’appel aux dons et soutiens.
Sans un apport financier certain, l’existence de la radio sera remise en cause !

FPP, la « voix des sans voix », risque la plus grave des maladies : l’extinction...
Pour envoyer vos dons : par internet sur le site http://www.rfpp.net, cliquez sur le bouton « faire un don » ou par courrier à Radio FPP - 1, Rue de la Solidarité - 75019 Paris (Chèque à l’ordre de l’Association P.A.R.I.S)

Actualités

Sans surprise, le conclave a fait pschitt

Ni blanche, ni noire, le conclave n’aura finalement dégagé aucune fumée. Son échec était programmé depuis le départ. Ni le gouvernement ni le patronat n’entendaient concéder quoi que ce soit aux travailleur·euses. Encore moins revenir sur les 64 ans d’âge légal de départ. Au contraire, tous deux souhaitent reculer encore et encore cet âge légal pour éviter la catastrophe financière alors que le rapport du COR est loin d’être aussi alarmiste que ce que son président a tenté de faire croire.

Depuis plus de 40 ans, la Marche des Fiertés est bien plus qu’un arc-en-ciel de couleurs et de musique dans les rues

C’est un cri du cœur, une clameur collective pour l’égalité, la tolérance et le respect des droits humains. En 2025, On ne marche pas seul, on marche ensemble. Fièrement. Pour que l’égalité ne soit plus un combat, mais une réalité.

Les urif CGT , FSU, Solidaires apportent tout leur soutien aux organisateurs de la marche des fiertés à Paris

A partir d’une polémique construite de toutes pièces autour d’une affiche, la région IDF de France, via sa présidente Valérie Pécresse, dans une posture politique, retire les subventions régionales mettant en danger la marche, sans qu’aucun contact n’ai été pris avec les organisateurs.

Déclaration commune de la CGT, la FSU, la LDH et Solidaires

L’assassinat de Hichem Miraoui, à Puget-sur-Argens, le samedi 31 mai 2025, qui survient après celui d’Aboubakar Cissé, nous rappelle brutalement une réalité : ces drames ne relèvent pas du hasard. Ils témoignent d’une escalade préoccupante de la violence à caractère racial et islamophobes dans notre société et notamment du discours tenu par l’extrême droite.

Réforme du RSA et de l’allocation chômage : le décret de la honte !

Malgré l’avis défavorable rendu par le conseil national de la lutte contre l’exclusion, le gouvernement a publié par décret le 31 mai son régime de sanctions des demandeurs·euses d’emploi qui ne respecteraient pas leurs obligations à chercher activement du travail. Ces obligation figurent dans le « contrat d’engagement » que ces dernier·es sont contraint·es de signer avec leur conseiller·e France Travail.

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