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Répression et libertés

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Nous ne demanderons pas l’autorisation !
Le droit de manifester est une liberté fondamentale. Il est une condition et une protection pour les autres libertés. Il permet de dire ensemble comment on veut vivre. Depuis 1935, il s’exerce par simple déclaration. C’est ainsi qu’il a traversé le siècle et les crises pour arriver intact jusqu’à nous.
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La liberté de manifester est un droit, et nous l’exercerons
Ce samedi 13 juin, le juge des référés du Conseil d’Etat a suspendu l’interdiction générale et absolue de manifester sur la voie publique, contenue dans l’article 3 du décret du 31 mai 2020 dans le cadre de l’Etat d’urgence sanitaire.
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Mobilisations contre les violences policières
L’Union syndicale Solidaires appelle à rejoindre la marche "Vérité et Justice" à Paris (rendez-vous 13h30 république) et tous les rassemblements ce samedi 13 juin à l’appel du Comité Justice pour Adama.
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La police nationale est en colère ? nous aussi !
Mort-es, mutilé-es, interpellations abusives, contrôles au faciès, violences gratuites, propos racistes, propos homophobes, etc… l’Union syndicale Solidaires a toujours dénoncé et condamné ces agissements opérés par une bonne partie de la police nationale dans les quartiers populaires , les manifestations, les rassemblements.
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Tout comme la santé, nos libertés ne sont pas négociables !
Alors que la population a consenti de façon responsable à une restriction de ses libertés, en particulier à travers le confinement, le gouvernement a poursuivi une politique répressive et liberticide se traduisant par des pratiques autoritaires et des violences policières, sans aucun lien avec la situation sanitaire mais entendant profiter de l’effet de sidération qu’elle a produit pour accélérer sa politique.
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Déconfinement phase 2 : presque tous les droits sauf celui de manifester !
Nous exigeons le rétablissement immédiat du droit de manifester et mettrons tout en œuvre pour qu’en tous lieux puissent s’exercer nos droits sociaux et nos libertés publiques pour une véritable démocratie sociale.
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STOP covid - STOP libertés publiques
Le Parlement a adopté l’application Stop Covid censée identifier les personnes côtoyées par un malade du Covid 19. Sa lancée est prévue début juin. Le gouvernement le jure, l’application n’aura pas vocation à perdurer au-delà de la pandémie, l’Etat ne se transformera pas en Etat policier pour autant, ce n’est qu’un outil..
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Le préfet de police de Paris interdit la manifestation des sans-papiers prévue ce samedi 30 mai à Paris
Les collectifs de sans-papiers et les organisations qui les soutiennent, soit plus de 180 associations, syndicats, groupes locaux… ont annoncé leur intention de manifester ce samedi 30 mai en raison de l’urgence de la situation sanitaire, sociale, économique que vivent les sans-papiers.
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Manifester est un droit fondamental. Il doit être défendu
Depuis le 11 mai, le couple exécutif a décidé de réprimer toute forme de protestation publique. En dépit du respect des gestes barrières, il mobilise les forces de l’ordre pour bloquer et verbaliser une chaine humaine à l’Ile-Saint-Denis (93) contre des violences racistes commises par des policiers, un cortège syndical de voitures à Marseille pour l’emploi et les services publics, des rassemblements ponctuels de « gilets jaunes », des protestations des personnels infirmiers et de médecins devant des hôpitaux.
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Amendes au forfait = droits au rabais !
Parmi les nombreux textes légaux sortis la semaine dernière et les moins commentés à ce jour, un décret du 28 mars dernier relatif à la « forfaitisation de la contravention de la 5e classe » devrait pourtant attirer l’attention. Car ses conséquences sont loin d’être anecdotiques. Pour rappel, les amendes sont des contraventions pénales classées de 1 à 5 selon le degré de gravité de l’infraction commise, la première étant la plus basse sanctionnée à partir de 38 €, la cinquième, donc la plus haute, pouvant aller jusqu’à 3 000 € en tarif majoré. Or ces montants peuvent être abaissés (de 4 € à 450 € selon la classe, hors cas de récidive) à la double condition que le/la contrevenant-e accepte de régler rapidement la facture et de ne pas passer par la case justice. C’est ce qu’on appelle la forfaitisation des amendes et c’est tout sauf anodin. D’autant que la personne verbalisée n’a pas le choix. Et que même certains délits sont concernés !
 
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