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Site de l'union syndicale Solidaires Paris. Un site pour vous informer sur l'actualité syndicale, pour défendre nos acquis sociaux, pour revendiquer de nouveaux droits !
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lundi 30 juin
Communiqués
Révolte au Centre de rétention administrative de Mesnil-Amelot
Les centres de rétention administrative (CRA) qui emprisonnent des étranger-es n’ont pas été tous évacués avec l’épidémie. A ce jour près de 170 personnes seraient encore détenues.
Amendes au forfait = droits au rabais !
Parmi les nombreux textes légaux sortis la semaine dernière et les moins commentés à ce jour, un décret du 28 mars dernier relatif à la « forfaitisation de la contravention de la 5e classe » devrait pourtant attirer l’attention. Car ses conséquences sont loin d’être anecdotiques. Pour rappel, les amendes sont des contraventions pénales classées de 1 à 5 selon le degré de gravité de l’infraction commise, la première étant la plus basse sanctionnée à partir de 38 €, la cinquième, donc la plus haute, pouvant aller jusqu’à 3 000 € en tarif majoré. Or ces montants peuvent être abaissés (de 4 € à 450 € selon la classe, hors cas de récidive) à la double condition que le/la contrevenant-e accepte de régler rapidement la facture et de ne pas passer par la case justice. C’est ce qu’on appelle la forfaitisation des amendes et c’est tout sauf anodin. D’autant que la personne verbalisée n’a pas le choix. Et que même certains délits sont concernés !
Numéro Vert de l’Union Syndicale Solidaires : plusieurs centaines d’appels en une semaine de fonctionnement
L’Union Syndicale Solidaires a mis en place depuis le 30 mars un Numéro Vert pour aider les salariées, les chômeurs/ses, les étudiant-es à faire valoir leurs droits. Depuis une semaine, ce numéro d’appui syndical animé par des militant-es de tous les secteurs a d’ores et déjà montré tout son intérêt puisque des centaines d’appels de salarié-es, précaires, chômeur-euses, étudiant-es et agent-es publics s’y succèdent.
Antisociale, l’autre épidémie
Depuis la mise en place des mesures de confinement pour lutter contre le coronavirus, nos permanences syndicales sont submergées par une autre épidémie : celle qui consiste pour le patronat à profiter de l’état d’urgence sanitaire pour réduire fortement les droits des salarié-es voire s’en séparer en cette période de récession de l’activité économique.
L’activité partielle, une bonne affaire patronale !
L’activité partielle a remplacé le chômage partiel (ou chômage technique) le 1er juillet 2013. En cas de cessation temporaire ou de baisse de l’activité, elle permet à un employeur de placer ses salarié-es en activité partielle, les indemniser de la perte de revenus tout en étant aidé par l’Etat qui lui verse une allocation. L’employeur peut être une entreprise, une association voire provisoirement un particulier. En effet, depuis l’ordonnance du 27 mars 2020 prise à la suite de la crise du coronavirus et parer à ses « conséquences économiques, sociales et financières », ce dispositif a été étendu jusqu’au 31 décembre 2020 à de nouvelles catégories de salarié-es.
Les choix délibérés de ce gouvernement font monté la colère
Les unions régionales Ile-de-France (URIF) CGT, FO, Solidaires, FSU, avec l’UNEF et l’UNL, tiennent avant tout à exprimer leur soutien total aux salarié.e.s qui sont en première ligne pour faire tourner le pays et en particulier la région Ile-de-France, dans des conditions inacceptables mettant en péril leur vie et celle de leurs proches : les soignant.e.s en premier lieu, les personnels d’entretien, les postiers, les pompiers, les territoriaux, les routiers, les salarié.e.s des magasins d’alimentation – professions souvent les plus mal rémunérées !
Ce gouvernement est-il en "guerre" contre le coronavirus ou contre les droits des salarié-es ?
Les unions régionales Ile-de-France (URIF) CGT, FO, Solidaires, FSU, avec l’UNEF et l’UNL, rejettent la loi relative à l’ « état d’urgence sanitaire » adoptée hier à l’Assemblée nationale : cette loi ne prend aucune mesure destinée à fabriquer en urgence des stocks massifs de masques FFP2, aucune mesure pour ouvrir des lits de réanimation et de soins intensifs dans les hôpitaux, aucune mesure pour organiser le dépistage systématique comme c’est le cas dans d’autres pays.
1000 euros de primes si vous travaillez ! Est-ce raisonnable ?
La priorité doit être d’arrêter les activités non indispensables et de protéger socialement et physiquement les travailleur-euses !
Mesures d’exception : vigilance !
Le gouvernement s’apprête à faire voter en urgence un projet de loi l’autorisant entre autres à déclarer un « état d’urgence sanitaire »
Défenseur-es syndicaux : Le Conseil constitutionnel élargit en partie leur compétence territoriale
C’est une décision que nous attendions et Solidaires s’en félicite !
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